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Le blog de sanctuaryofajran

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Ceci est un blog ou je publierais des fan fiction CCS, mes nouvelles et romans. Si vous avez des suggestion pour mettre à améliorer tout cela, me faire part de votre avis. N'hésitez pas à me faire part de votre avis en me laissant un commentaire.


Les jeux de la princesse p2

Publié par sanctuaryofajran sur 4 Janvier 2018, 13:06pm

C’est ainsi que trois années passèrent sans qu’aucun prétendant ne parvienne à franchir l’obstacle imposer. La princesse quant à elle ne pouvait que se féliciter d’autant plus, du succès de son entreprise, qu’aucun de ces charmants jeunes gens ne trouvait grâce à ses yeux.

Personne n’assistait jamais aux jeux. Quand, elle recevait un courtisant, elle le s’était toujours dans ses appartements, puis l’emmenait dans les bois près du château où il restait alors absent une matinée, une après-midi, parfois même ne revenait pas avant que la nuit ne soit tombée. L’issue se soldait toujours par l’annonce de l’échec du courtisant qui la mine défaite repartait dépiter, vaincu et humilier.

En un peu plus d’une année la princesse avait éconduit tout ce que le continent comptait de prince et de duc. Le roi alla donc voir sa fille et lui dit :

« Ma fille, cela fait deux années que nous vous cherchons époux, en vain. Nombreux sont ceux à être  reparti fâcher de la manière dont vous les avez reçus, je vous supplie donc de mettre fin à cette folie.

«La folie ne serait-elle pas plutôt d’offrir le royaume à un faible ? Comment espérer qu’un homme incapable de vaincre une femme puisse assurer efficacement la protection de notre royaume ?

Le souverain fort contrarié de  ne pouvoir faire fléchir sa fille autorisa toutes personnes bien nées à prétendre à la main de sa fille.

Six mois s’écoulèrent sans plus de résultats. Beaucoup s’abstenait de prétendre à la main de la princesse en dépit de sa grande beauté de crainte de s’exposer à l’humiliation. Le roi au désespoir déclara alors que les gens du peuple pouvaient désormais prétendre à la main de sa fille, mais que tout échec se verrait puni de mort.

Le souverain espérait que sa fille aurait assez bon cœur pour renoncer à ses exigences maintenant que des vies étaient en jeux. Mais le cœur de la jeune femme était de glace. Ils furent nombreux à mourir cette année-là.

Un jour, on vint lui annoncer qu’on recevait un jeune homme  venu lui demander.

« Est-ce un noble parti ou l’un de nos gens ?

« Un homme du peuple, votre grâce.

La princesse fut déçue par la réponse.  Elle ne s’émouvait guère du sort des gens du peuple dont l’échec inéducable signifiait la mort. Il avait choisi leurs sorts en toute connaissance de cause, après tout.  Leurs morts l’a laissait indifférente, mais elle n’y prenait aucun plaisir. Ce qui n’était pas le cas, de l’humiliation qu’elle infligeait aux nobles partis. Souvent arrogant et sûre d’eux, elle n’appréciait rien tant que leur mine déconfite après leurs défaites, et tout particulièrement quand elle les battait sur une épreuve qu’ils avaient eux même choisit.

On introduisit alors un jeune homme à peine sorti de l’adolescence. Celui  qui prétendait à sa main, ce jour,  était un jeune homme d’une maigreur extrême, mais avec un visage avenant. Lorsqu’il s’approcha pour la saluer, elle constata également qu’elle le dépassait légèrement en taille.

Il la salua en gardant le silence comme l’exigeait le protocole.

« Je vous souhaite le bonjour, monsieur.

« Votre grâce, je suis venu demander votre main.

«  Et je suis venu, vous demandez d’y renoncer. Je crains que vous ne réalisiez pas le péril auxquelles vous, vous exposer.

« J’en suis au contraire bien conscient. Je sais que pour un homme qui a la prétention l’issu n’est autre que le bonheur de vous avoir pour femme ou  la mort.

 «Je crains que vous sous-estimer le danger.  Êtes- vous conscient qu’ils sont nombreux à avoir tenté leurs chances et que tous on échoué.  Ne commettez pas la folie de sous-estimer votre adversaire, parce qu’il appartient au beau sexe. Vous pouvez encore renoncer.

« Je ne sous- estime rien du tout ! Seulement ma vie est bien trop misérable pour que je m’y accroche. Quant à abandonner, comment le pourrais-je après vous avoir vu.

Un jour, on vint lui annoncer qu’on recevait un jeune homme  venu lui demander.

« Roturiers ou  nobles, les hommes sont décidément tous pareils.  Un page viendra demain, vous faire visiter le palais et dans deux jours nous jouerons.  Avez-vous des questions.

« Puis-je, vous proposez de nouvelles règles pour les jeux.

La princesse fut surprise, car en trois années personne n’avait tenté de remettre en cause les règles imposées.

« Les règles, des jeux ne peuvent être modifiés, car elles ont été imposées par mon père.

« Il ne s’agit pas de modifier les règles, mais d’en ajouter.

De plus en plus intriguer, la princesse demanda :

« Cela dépend si j’y consens ou non. Quelles seraient ses nouvelles règles.

« Il n’y en a que deux. Tout d’abord, il n’y aura qu’un seul jeu par jour. Ensuite, après un jeu, la journée suivante, vous m’accorderez un rendez-vous.

La princesse, déconcerté  le regarda un moment  sans rien dire. Puis l’instant de surprise passé, elle jugea sa demande logique. S’il risquait sa vie autant repoussée l’échéance fatale.  Elle n’avait rien contre le fait de prolonger un peu le jeu.

« Qu’il en soit ainsi, dit-elle avec un geste gracieux de la main pour le congédier.

               

 

 

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