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Le blog de sanctuaryofajran

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Ceci est un blog ou je publierais des fan fiction CCS, mes nouvelles et romans. Si vous avez des suggestion pour mettre à améliorer tout cela, me faire part de votre avis. N'hésitez pas à me faire part de votre avis en me laissant un commentaire.


Drôle de couple Part XXI

Publié par sanctuaryofajran sur 4 Octobre 2015, 17:03pm

Catégories : #drôle de couple

Drole de couple Part XXI

L’adolescente pencha légèrement la tête et elle et Natsu s’embrassèrent. Son corps pressé contre celui d’une magnifique blonde, sa langue dansant dans sa bouche dans un mouvement de va et viens, le jeune homme se demandais pas si une fois encore, il n’était pas en train de rêvé. Si telle était le cas, il ne souhaitait que deux choses, la première qu’on ne le réveille pas, la seconde se souvenir du rêve une fois réveillé. La jeune fille lui caressa la joue sans arrêter de l’embrasser, mais lorsqu’il voulut rompre leur baiser à regret pour reprendre son souffle, elle fit glisser sa main derrière sa tête, afin de l’empêcher de s’écarter.

Natsu commença à remuer sous elle pour se détacher. Magnanime la jolie blonde le laissa reprendre son souffle.

« Il va vraiment que l’on travaille ton endurance, gloussa-t-elle amuser.

Natsu profita de ce moment de répit pour lui demander :

« Et Lissana ?

Elle lui posa un doigt sur les lèvres pour le forcer à se terre.

« Moins de langue, plus de lèvre, lui ordonna-t-elle.

Et ce fut avec joie que le garçon obéis.

Du point de vue du geek, le secret d’un baiser d’un baiser réussis dépendais de la manière dont ont utilisait sa langue. Cependant, malgré son jeune âge, c’était Lucy l’experte en la matière. Et elle en apprit plus au jeune geek en deux minutes que ce qu’il en avait découvert par sa propre expérience en… et bien toute sa vie, en fait.

Lucy pris la main du jeune homme et la fit remonter jusqu’à sa poitrine. Là, Natsu fut certain qu’il était en train de rêver. Les filles comme Lucy n’allait jamais aussi loin avec des garçons comme lui, au mieux, elle les taquinait en simulant un quelconque intérêt.

Cependant, il écarta assez rapidement cette pensé pour profiter de l’instant. Il l’a caressa doucement et un peu maladroitement, puis lorsqu’il fut certain qu’il n’allait pas s’en prendre une, il prit un peu d’assurance. Il referma sa main sur le sein droit de la jeune fille et le pressa délicatement. Le sein de l’adolescente était un peu gros pour sa main, mais cela n’en resta pas moins très, très, très agréable. Il eut même la satisfaction de constater une certaine fermeté qui lui démontra que la jeune fille n’était pas totalement indifférente. Comment un tel miracle pouvait-il être possible ? Cela resterait un mystère.

En réponse à se pilotage intempestif répondit en caressant une certaine protubérance au niveau de l’entrejambe qui était bien compréhensible.

La jeune fille rompit leur baiser un instant sans s’écarter et lui demanda avec un sourire hilare :

« Tu veux que je te soulage ?

Le jeune homme embarrassé, rougit.

« Ce n’est pas drôle.

« Un peu quand même, répondit-elle en recommençant à l’embrasser et à le caresser. Apparemment, même s’il n’avait pas répondu à la question la jeune fille avait décidé que la réponse à la question qu’elle avait posé un instant plus tôt était positive.

Malheureusement toutes les bonnes choses ont une faim. Il y a toujours une saloperie qui vient foutre le bordel. Dans le cas présent, ce fut la voie de Lissana qui hurla :

« Ho, vous descendez, oui. Franchement, il faut combien de temps pour vous préparer ? Cela fait plus de dix minute que je suis prête moi et je suis une fille.

Lucy rompit leur baiser, puis se redressa assise à califourchon sur Natsu et répondit :

« Ben, justement, il y a plus de boulot pour le rentre sexy. On descend dans cinq minutes.

« Sympa, répondît Natsu.

La jeune fille lui lança un regard moqueur et répondît :

« Tu aurais préféré que je lui dise la vérité ? Je veux bien, moi, mais le match de catch, se serrait transformer en combat de boxe et tu aurais finis à l’hôpital.

Natsu fit la grimace. Elle n’avait pas complétement tort. Si Lissana décidait de le trapper cela finirait mal pour lui à tous les coups. D’abord, parce qu’il se voyait assez mal une fille, ensuite parce que son amie d’enfance lui avait récemment prouvé qu’en terme de force, elle n’avait pas grand-chose à lui envier, voir même rien du tout.

« Alors, on s’arrête là ? fit le jeune homme, non sans une certaine déception perceptible dans sa voix.

« C’est mieux comme ça, si on avait continué, je ne suis pas sûr que je n’aurais pas fini par te violer. Cela n’aurait pas été très romantique pour une première fois.

Natsu opina avec le plus grand sérieux.

« En effet chaque chose en son temps.

Il marqua une pause, puis ajouta :

« On ferra ça ce week-end.

« Peut-être, si tu es sage. Allez ta petite copine officiel t’attend pour te botter ton joli petit cul osseux.

« Et pour ma tenue de combat ?

« Qu’est-ce que tu racontes ? Tu es très bien comme ça.

Natsu était présentement nu comme un vers. Non, n’en fait pas tout à fait. Il avait un caleçon. Cependant, il n’était pas dupe, il savait que sur ce point, il n’aurait pas gain de cause. Quoi qu’il dise, il descendrait dans cette tenue. Sauf s’il protestait, dans ce cas, il n’était pas exclus que la jolie blonde, ne le force à descendre complètement nue. Elle était assez folle pour le faire. Comme il se voyait mal s’exposer dans cette tenue non seulement au regard de Lissana mais également à ceux des dizaines de milliers d’abonné qui les suivait régulièrement et qui pour la plupart était des étudiant de la fac, il préféra s’abstenir. Il préféra donc lui faire remarquer.

« Tu ne m’avais pas proposé de me soulager ?

« Plus le temps fait le tout seul. Allez, je vais de laisser seul pour te laisser d’adonner à ton plaisir solitaire.

Sur ces quelques mots, elle quitta la pièce.

Pendant un instant, Natsu envisagea sérieusement de suivre la suggestion de l’adolescente. Il essaya, mais son membre étant déjà atteint un niveau de rigidité avancé, cela s’avéra compliquer.

Au grand dam, le geek fut bien obligé d’admettre se triste constat. Il n’était pas possible en l’état actuel des choses, il lui était impossible de se soulager. Il fut donc contraint à descendre au salon encore tout bandant et encore à moitié émoustiller par l’étreinte de la belle adolescente.

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