chapitre VI L'emenagement

Chapitre VI

Le déménagement

Il était maintenant 7h30 du matin, Shaolan n’avait pas très bien dormit et il se réveilla avec un mal au

 cou. Le jeune homme essayait de retrouver tous ses sens, soudain il entendit un bruit sourd, il releva la tête et retrouva Sakura en face de lui. Il ne voyait que sa bouche battre, il ne comprenais rien à ce qu’elle racontait. Et puis BANG!, il se retrouva au sol, il ne savait pas comment mais il était maintenant bien réveillé.

« Qu’est-ce qui te prends ?! » S’exclama t-il en se relevant brusquement

« Tu n’es qu’un flemmard ! T’as beaucoup de chose à faire aujourd’hui ! »

«  Je ne suis à toutes tes dispositions, je travailles moi ! »

« On est Samedi ! »

Shaolan soupira et se laissa tomber sur la canapé, démuni de toutes forces, cette jeune fille l’épuisait rien qu’en parlant.

« On doit aller récupérer mes affaires… »

« Hein ?! »

« T’as très bien entendu, et ne crois pas que je te laisserai filer… »

Un téléphone sonna, Sakura courut dans la chambre, Shaolan la laissa faire, d'autant plus qu'il ne se remettait pas de veille, combien de fois il allait être battu encore ? se demandait-il. Hélas ce n'était que le commencement, à quinze ans elle avait beaucoup de tempérament, c'est fou comme elle ne faisait pas son âge.

Sakura revint, toute radieuse, Shaolan se demandait pourquoi d'ailleurs, elle arriva auprès de lui en sautillant et s'assit sur ses genoux. Elle eut un sourire, ce qui ne plaisant pas du tout au chinois.

« Shaoooo… » Fit-elle en passant ses bras autour de son coup

« Qu-Quoi ? » Dit Shaolan, ne pouvant détacher ses yeux de la vue qu’elle lui offrait

« Tu te souviens de ce que je t’ai parlé hier soir ? »

« Hier ? Oh, tu m’as tellement gonflé avec…! »

Sakura le serra contre sa poitrine, Shaolan était rouge piment, il ne pouvait plus respirer.

« Mais si, souvient toi, ton adversaire… »

Sakura lâcha sa proie et se leva, le jeune homme toussa.

« Prépare-toi, nous allons la chercher… »

Sur ce, Sakura se dirigea dans la chambre. Quant à Shaolan, il se contentait de caresser sa gorge, mais qu’est-ce qu’il allait faire ? Il ne pouvait pas continuer ce petit jeu, il s’était déjà fait ramasser par un gamine de 15 ans, c’était la honte, mais qu’adviendra-t-il de lui s’il se fait battre par une autre encore plus jeune. Tout était confus, mais il ne devait pas perdre espoir, il ne devait pas laisser passer sa chance.

Il se leva déterminé.

Shaolan roulait depuis près de 30 minutes, c’était beaucoup trop long selon lui, de plus c’était Sakura qui le guidait, et le critiquait par-dessus tout. Ils ne savaient même pas où ils allaient. Maintenant ils passaient devant un arrêt de bus, il y avait une grande allée avec une grande clôture.

« ça fait six fois qu’on passe ici, tu es sur de ce que tu avances ? » Demanda le jeune homme un peu agasse

« Tu te prends pour qui pour me critiquer ! Tu ne sais pas même pas lire un panneau ! »

« Tu ne sais pas lire un plan, toi ! »

« C’est la première fois que je viens la voir, je ne la vois qu’à l’école ! »

Soudain, ils arrivèrent devant une grande barrière noire. Sakura frappa Shaolan avec son sac, ce qui le fit perdre contrôle de la voiture, elle tourna sur elle-même.

La grande barrière s’ouvrit et la voiture pénétra dans la grande demeure, un grand jardin entourait la maison, le plais d’autant plus. La porte d’entrée s’ouvrit et une petite fille se mit à courir vers eux, ses cheveux étaient bleus foncés, sa peau est aussi blanche que de la porcelaine, elle ressemblait qu’à une princesse.

« Sakura-sensei ! » S’écria-t-elle

« Sensei ? » Se demanda Shaolan

« Ne t’occupes pas, c’est comme ça  qu’elle m’appelle, je lui ai déjà tellement répété de m’appeler sempai, mais elle ne veut pas »

La petite fille sauta dans les bras de Sakura, à sa grande surprise.

« Salut Tomoyo !! Je suis aussi ravie de te voir ! Mais j’ai quelque chose à te dire, viens on va voir ta mère ! » Fit Sakura en détachant la petite fille d’elle

Les deux filles s’en allèrent dans la maison, tandis que Shaolan resta auprès de la voiture. Une heure après, elles revinrent, Shaolan dormait sur la banquette, Sakura n’apprécia guère et lui enfonça son coude dans le ventre. Le jeune homme eut le souffle coupé, que de misères.

« Aller, démarre ! »

**

Qu’est ce qu’elle trimballe dans ces foutue boite se demandait Shaolan le visage grimaçant sous l’effort ! N’y tenant plus, il décida de faire une pause.

Ce bref répits ne dura malheureusement pour lui pas très longtemps. Sakura sortis de la maison et lui jeta un regard désapprobateur.

-Allez remue-toi espèce de gros feignant. Tu ne vas pas laisser deux pauvres filles faire tous le boulot.

Un grognement mauvais sortit des lèvres du jeune homme. Il était certain qu’elle le laissait porter les affaire les plus lourde.

-Laisse-moi cinq minute pour me reposer, lui demanda-t-il.

Sakura poussa un soupir affliger.

-Les mecs, je vous jure. Décidément c’est vrai ce qu’on dit après vingt ans, il ne tienne plus la distance.

-Ne sois pas trop méchante avec monsieur Shaolan, Sakura. C’est vrai qu’il a transporté plusieurs boite d’altère.

Des altères ?  C’est bien ce qu’il pensait cette fille le prenait pour un mulet.

-Merci, Tomoyo mais tu sais tu n’es pas obliger de me servir du monsieur à tout bout de champs.

-Mais ce n’est pas très poli. Il faut respecter les veille personne.

Shaolan fit la grimace. Il se demanda si c’était  Sakura qui lui avait dit de dire ça. En tout cas la fille au yeux vert semblait trouver cela extrémement drôle.

-Je ne suis pas encore bon pour la maison de retraite. On n’est quand même de la même génération.

-Ha bon ? s’exclama la fille.

L’étonnement sur son visage était si sincère qu’il doutait qu’elle joue la comédie.

-C’est pas une raison pour te la couler douce, le réprimanda Sakura. Pendant que moi et Tomoyo on fait tout le travail.

-Tu n’as donc aucune pitié.

-Tu paies pour tes crimes.

-Ces crimes, fit Tomoyo avec un regard interrogateur.

Shaolan Se demanda si Sakura allait révéler ce qui s’était passer durant la fête quelques jours au paravent. Cela risquait de s’avérer gênant si c’était le cas. N’importe qu’elle personne entendant cette histoire le prendrait pour un salaud. 

-Oui, crime contre le sport. C’est pas a cause de son grand age qu’il est une grosse limace flasque. C’est parce qu’il fait pas de sport depuis plus de  sept ans.

-C’est pas vrai, fit la jeune fille  l’air aussi choqué que s’il lui avait annoncer  qu’il était l’arrière petit fils d’Hitler.

-Désoler de miser davantage sur ma matière grise que sur mes muscles pour réussir dans la vie.

Les deux filles ne répondirent par au sarcasme. Tomoyo s’approcha vers luiet souleva son t-shirt sous le regard medusé du garçon. Examinant son ventre d’un œil expert. Elle secoua la tête d’un air affligé.

-Pas étonnant que les caisse soit trop lourdes pour toi. Je vais t’aider.

-Ca c’est gentil, Tomoyo. Certaine personne ici devrait en prendre de la graine.

 Sakura haussa les épaules.

Tomoyo se baissa pour soulever la caisse. Shaolan se leva pour l’aider mais à peine l’eut-il rejoint que la fille s’était relever.

-Finalement, c’est moins lourd que je le pensais. Tu peux te reposer, Shaolan. Je finirait toute seule.

Shaolan était mortifié. Il venait de perdre toute crédibilité en tant qu’homme. Evidement, Sakura ne manqua rien de son changement d’expression et éclata de rire.

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Sakura était sur son petit nuage. Faire un enfer de la vie de Shaolan s’amusait bien plus amusant et facile que prévus. La déconfiture du garçon avait commencé bien plu tôt que prévu. Le plus beau c’était que la petite Tomoyo n’avait pas eu la moindre intention malveillante à l’écart du jeune homme –contrairement à elle- Elle avait juste voulu  lui donner un coup de main. C’était dans la nature de Tomoyo -qui était la gentillesse incarner- d’aidé les autres. Mais cette fois, ça bienveillance avait littéralement.

Sakura eut un doute quand même, elle devait en avoir le cœur net.  L‘occasion  d’en avoir le coeur net n se fit pas tarder.

Tomoyo entra dans sa chambre l’air un peu soucieuse.  Sakura lui sauta dessus et la prit dans ces bras. Tomoyo la tête entre ses seins. 

-Ho, ma chérie. Tu as été trop génial. Tu lui à bien rabattu son caquet a ce prétentieux de Shaolan.

-Hein ? Mais qu’est ce que j’ai fait, fit la petite fille à demi étouffé en se débattant.

-Alors, tu ne l’as pas fait exprès. Je m‘en doutais.

-Fait quoi ? Monsieur Shaolan boude, c’est de ma faute mais pourquoi ?

-Tu as blessé son orgeuil tout à l’heure. Tu sais il est un peu macho, tu sais. Il a des apriori débile du genre les filles sont le sexe faible, un garçon est toujours plus fort qu’une fille. Alors ce qui sait passer tout à l’heure ça l’a bien remis à sa place.

Mais la petite fille ne partagea pas du tout son amusement sa mine se décomposa.

-C’est pas drôle, Sakura sensei !

Elle fit volte face vers le salon.

Sakura maudit sa stupidité. Elle aurait dut prévoir la réaction de Tomoyo. Elle avait prévus d’installer une rivalité entre ces deux là. Mais avec ça son plan génial tombait à l’eau. Comment allait-elle bien pouvoir rattraper le coups ?

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C’était la fin de l’après-midi maintenant, même si ce n’était que pour un an, Sakura n’avait pas hésité de tous prendre chez elle et remplir l’appartement de Shaolan. Tout avait été installés, les affaires du chinois n’étaient que minimes par rapport à celle de la Japonaise, même sa chambre, elle avait tous foutu en l’air.

Bien abattu, pitoyablement, Shaolan se trouvait sur son canapé, peut être la seule chose qui lui restait, avec une bière dans la main et une cigarette dans l‘autre. Dans des moments pareilles, on retrouve toujours son vieille ami, l’alcool ; Tomoyo déboula comme une furie.

-Monsieur Shaolan, je suis désolé fit-elle.

Shaolan se demanda pourquoi, elle s’excusait.

- Tu peux m’expliquer de quoi tu parles.

-Tout à l’heure je vous es embarrassé. Mais je voulais juste vous aider.

Shaolan n’apprécia pas qu’on lui rappela cette épisode qu’il tentait d’oublier. Il décida de jouer les indifférent.

-Je devrais t’en vouloir de m’avoir aidée ?

-C’est vrai, ce n’est pas parce Shaolan est faible que tu dois d’excuser.

-Sakura arrête de l’embêter pour aujourd’hui. C’est tout à fait normal qu’il soit pas au mieux de sa forme s’il ne s’entraîne pas.

Le jeune homme lui lança un regard en coin.

-Donc, tu pense que tu es plus forte que moi.

-Ben… Heu…

Shaolan se renfrogna. Ces hésitations était encore plus humiliant pour lui que si elle avait franchement répondu « oui ».  Là, elle Cherchait ces mots pour ne pas trop le blesser.

Sakura par contre n’avait pas autant de scrupule et n’hésita pas  à prendre la parole.

-Ces évident qu’elle est plus forte que toi, voyons.  Même si tu es le prince de la mauvaise foi, tu ne peux pas niée ce qu’il sait passer tout à l’heure a moins que la sénilité soit déjà la.

-Minute, Je faisais juste une pause. Je te signal que tu m’as laissé porter  tous ce qui était lourds. J’avais  transporté la moitié de ton attirail de musculation quand j’ai fait ma pause.

-Et après ta pause, Tomoyo à transporter l’autre moitié pendant que tu soignais tes rhumatisme, papy.

-Vous n’avez pas à vous justifier, Monsieur Shaolan. Tous le monde ne peu pas avoir de la force.

Cette remarque valut à la petite fille un regard noir de Shaolan et un sourire hilare de Sakura. L’honnêteté et la gentillesse était les deux qualités principales de la fille. Mais ce mélange était ce qu’il y avait de pire pour l’ego du garçon en ce moment. D’un côté, sa gentillesse la poussait a réconforter Shaolan et bien sur ne rien dire pouvant le blesser. D’un autre côté son honnêteté l’empêchait de mentir. Elle ne pouvait lui dire qu’il était plus fort qu’elle si elle ne pensait pas.

-Ho, tu sais Tomoyo c’est excuse son plutôt crédible. Je commence à connaître l’animal. Il n’est pas très courageux et plutôt feignant. Je le crois tout à fait capable de laisser à deux faibles filles son travail.

-Pardon ? grogna Shaolan. Si j’ai transporté  la moitié de ton équipement de muscu et Tomoyo l’autre moitié qu’as tu transporté toi. Alors qui sait la feignasse de nous trois.

Sakura fut vexé mais comme elle ne trouva rien a redire décida d’ignorer superbement la remarque.

-On va en avoir le cœur net. Faites un bras de fer tous les deux. Comme ça on sera qui est le plus fort !

-Sakura, tu as déjà assez embarrasser, Shaolan pour aujourd’hui.  Tomoyo s’empourpra, se rendant compte que sa remarque pouvait être interprétée comme le signe qu’elle ne doutait pas de l’issus de la confrontation. Et qu’il était inutile d’embarrassé le garçon davantage. Croisant le regard du garçon, elle sut que c’était bien ainsi qu’il l’avait compris.

-Heu… Je veux dire…

Shaolan en avait marre de passer pour une mauviette. Il n’était pas un grand sportif mais c’était un mec. Certes, Sakura était plus forte que lui mais c’était une exception. La petite Tomoyo même si elle était plus forte qu’elle ne le paraissait ne pouvait pas le battre.

Il était retissant à l’idée de faire un bras de fer parce qu’il craignait avoir un peu de mal à gagner mais il ne doutait pas de sa victoire. Il refusait également qu’on le fasse passer  comme une lavette.

-Ok… Je suppose que bébé Sakura va nous faire un grosse colère si on ne céder pas a ses caprice.

La jeune fille lui caressa la tête comme à un chien.

-Brave Shao… Si tu gagne tu auras un baiser.

Shaolan faillit lui dire qu’il ne s’intéressait pas  au gamine. Mais une idée lui traversa l’esprit.

-D’accord, on parie un baiser.

Tomoyo sursauta avec un air outragé.

-Tu ne peux pas faire ça, Sakura.

-Ne t’en fais pas, j’ai fait un bras de fer contre vous deux. Et je suis certaine que tu vas le battre.  

Les deux adversaires posèrent leurs bras sur la table et la gros problème le bras de Shaolan était bien plus grand que celui de son adversaire en jupon. Sakura alla prendre un des livres de Shaolan pour que leurs bras soit au même niveaux.

Sakura vit Shaolan sourire.

-Qu’est ce que tu a te marrer !

-Ho, rien. Je me disait juste que s’était bien la tout l’intérêt d’un livre pour une personne ne pensant qu’avec ces gros muscle.

-Ils ne sont pas gros. C’est juste que toi tu n’en n’as pas.

Elle recouvrit de sa main les mains jointe de l’adolescente et du jeune homme.

-Partez.

Elle retira ses mains. Tout d’abord surpris par la force de la fille celle-ci prit l’avantage. Il n’en revenait pas, il avait presque utiliser toute sa force rien que pour la bloqué.

-Tu vois, je te l’avais dit, Tomoyo c’est toi la plus forte. Ecrase cette avorton prétentieux.

N’écoutant pas les Sarcasmes de la fille, le chinois lança toute ses forces dans le combat. Il voulait en finir vite. Cela ne fut pas le cas. Certes, il remontait le bras de la jeune fille et prit l’avantage. Mais sa progression était lente et laborieuse. Il avançait par à coup. Chaque fois qu’il attaquait le bras de la petite fille bougeait de quelque centimètre puis elle le bloquait. C’était épuisant, son visage était rouge et il transpirait mais il abaissait le bras de son adversaire en jupon. Comment un aussi petit bras pouvait avoir tant de force !

-On dirait que je t’ai sous-estimé, reconnut à contre cœur Sakura. Enfin c’est vrai que tu étais déjà  bien imbiber quand je t’ai battu.

Un sourire moqueur apparu sur les lèvres du garçon.

-Tu regrettes d’avoir parié un baiser.

-Non ! Tu vas perdre. Même si tu te seras moins ridiculiser que prévus. N’oublie pas que Tomoyo aspire à pratiquer son sport à un haut niveau plus tard et que toi tu n’en pratique même pas un.

Un instant Shaolan paniqua.

-Tu veux dire qu’elle n’est pas a fond, là.

-Si elle l’est.

-Alors je suis plus fort qu’elle.

-Très légèrement. Vraiment très légèrement.

-Alors, je vais gagner. Qu’elle sportive n’y changera rien. C’est une épreuve de force le plus fort gagne.

-Ce n’est pas si simple. Si le bras de fer dure moins d’une minute  comme c’est le cas le plus souvent en effet c’est une épreuve de force. Mais passez la minute cela devient très vite une épreuve d’endurance. Tu pense qu’un mec qui passe son temps le cul visser à une chaise à une meilleurs endurance qu’une sportive ? Alors regarde le visage de ton adversaire et tu auras la réponse.

Machinalement le garçon fit ce qu’elle lui disait. Et là horreur. Tomoyo forçait l’effort qu’elle faisait se lisait sur son visage. Mais elle semblait bien moins fatiguer que lui.  Elle suait à peine.

-Tu penses que tu auras assez de forces pour finir ce que tu as commencé ?

Le bras du chinois lui faisait mal et il n’en était qu’a la moitié de la descente. Il tenta une nouvelle attaque. Mais cette fois le bras de la fille ne bougea pas. Il ne lui restait plus assez de force pour baisser le bras de la fille. Soudain leurs bras bougèrent à nouveaux mais cette fois c’était la fille qui repoussait son bras et malgré ses efforts, il ne put l’arrêter. Le bras de fer durait depuis plus de trois minutes. Et au court de se court laps de temps ses forces avait déclinée alors que celle de la fille semblait intact. Le temps jouait en sa faveur. Plus le temps passait et plus le rapport de force s’inversait.. La jeune fille stoppa sa progression. Shaolan savait que ce n’était pas lui qui l’avait bloqué.  Il tenta d’en profiter pour abaisser  le bras de la fille mais en pur perde. Il avait beau s’échiner rien n’y faisait. Il comprit alors la stratégie de la fille. Elle avait bien évaluer la situation et par prudence le laissait épuiser ces derniere force. Il devait trouver une solution avant qu’il ne perde. Mais n’était-il pas déjà trop tard. Au stade ou en était les choses, Tomoyo était plus forte que lui. Une idée qui ne lui plus pas lui vint a l’esprit.

Il lança ces dernière force et s’aida de son poids pour compenser les force qui lui manquait. Ce fut payant lentement le bras de la fille s’abaissa. Ce n’était pas de la triche mais étant donnée leur différence de poids ce n’était pas très fairplay de sa part.

Finalement complètement éreinter Shaolan abattit le bras de la fille.

Sakura leva un sourcil.

-Ce n’était pas très loyal ça mon petit Shaolan.

-Je n’ai pas triché, se défendit le garçon.

 Tu gagne pour cette fois.

Un voile de suspicion passa sur le visage du jeune chinois.

-Comment ça pour cette fois ?

Sakura ne lui répondit pas mais se tourna vers Tomoyo.

-J’aimerais que tu viennes défier se gros paresseux une fois tous les week-end.

-Vous faites ça, juste pour l’ennuyer c’est pas gentil.

-Je fais ça pour votre bien a tout les deux, démentit Sakura.

Un rictus sarcastique fendit les visages du jeune chinois.

-Je suis curieux d’entendre ce qu’elle va nous sortir.

-Tout a fait, monsieur Shaolan, je fais ça pour ton bien, fit la fille en posant sur lui son regard émeraude avec un air réprobateur. Je veux bien que tu sois mou et faible mais si tu fait pas un minimum t’exercice physique cela nuira à ta santé.

Shaolan n’en revenait pas de la mauvaise fois de sa colocataire.

-Parce que tu te soucie de ma santé maintenant.

-Evidement, si tu clamse, je pouvais plus vivre à tes crochets.

-Je me disais aussi.

Sakura se tourna vers Tomoyo.

-Quand à toi, Tomoyo bien que tu sois dans note lycée, tu es de loin la plus faible de l’école.

La petite fille baissa la tête affliger.

-Je sais.

Shaolan était quand à lui estomaqué de ce qu’il venait d’entendre  cette gamine à la force monstrueuse était parmis les plus faibles. Elle avait presque réussis à le battre au bras de fer. Devait-il donc en conclure que toute les filles de leur lycée était plus forte que lui ?

-Ce n’est pas de ta faute la consola, Sakura. Ce n’est pas parce que tu as moins de talents que les autres mais tu es de loin la plus jeune du lycée. C’est normal que tu sois en décalage avec les autres. Après tout, tu as sauté deux classes.

-Trois, rectifia Tomoyo

-Ha oui excuse-moi, trois.

Sakura jeta un regard plein de malice à Shaolan genre «prends toi ça dans les dents mon petit Shao »

-C’est quoi cette histoire.

-Ho, oui tu ne savais pas. Tomoyo est un vrai petit génie dans ces étude, elle est entré avec trois ans d’avance au lycée.

Shaolan avait trouvé que la fille faisait très jeune pour ces 15 ans mais il ne se serait jamais attendu à ça.

-Ca voudrais dire que Tomoyo à…

-Douze ans, oui… Ca dois être dure pour l’ego, non ?

Douze ans, il avait failli se faire latter par une gamine de douze ans. Impossible, cela devait être une mauvaise blague de Sakura pour le rabaisser. Il chercha quelque chose désespérément pour étayer cette suppositions.

-Impossible qu’elle ai douze ans avec des seins pareil !

-Tient, je pensais que tu trouvais qu’elle était trop plate.

-Pour une fille de  quinze ans 85 b c’est moyen mais pour une fille de douze ans c’est une autre  histoire. 

S’était une défense puérile mais il ne pouvait accepter l’alternative. C’était deja bien assez  humiliant d’être à la merci d’une gamine de  quinze ans Pour qu’en plus une gamine de douze ans lui tienne la dragée haute.

-Et bien pourtant , elle a douze ans. Tu veux voir sa carte d’identité.

-Douze ans et demi, précisa, l’adolescente.

Affligée Le garçon se couvrit la main du visage. C’était pas  vrai, il devait cauchemarder. Sakura très satisfait de l’effet produit devait se retenir pour ne pas faire des bonds.

-Ne fait pas cette tête, lui dit Sakura avec condescendante. Tomoyo est plus jeune que toi mais c’est une fille quand même. Les filles sont bien plus forte que les garçons c’est bien connu.

Shaolan lui lança un regard assassin.

-Bref, reprit-elle en ignorant à nouveau le garçon. Je me disait que les prochaine semaine serais dur pour toi. Tu vas avoir l’impression de ne pas progresser parce que les autres fille au lycée son a un autre niveau. Alors se serait bien que tu vienne jouer avec Shao. Vu que c’est un adversaire à ta mesure, tu pourras constater des progrés en devenant plus forte que lui et en le distançant. Au début tu auras dur à le battre peut être même qu’il gagnera parfois. Mais si tu t’entraîne sérieusement dans deux ou trois mois, tu le battras sans problème. Et comme ça cela forceras Shaolan à faire un peu de sport pour ne pas être trop ridicule.

-Franchement, j’ai peut-être autre chose à foutre. Je suis universitaire, moi. contrairement à certaine, je ne compte pas sur mes gros muscle pour gagner ma vie

 -Tu fais comme tu veux. Si ça ne te dérange pas de te faire battre par une fille de douze ans.

Le jeune chinois retint une remarque désobligeante car il entrevit le moyen de se venger.

-Au fait Saki, tu m’avais promis un baiser.

Tomoyo sursauta.

-Mais Sakura ne peu pas faire ça.

-Un pari est un pari Tomoyo. Même si ça ne me plait pas t’embrasser ce crapaud, la belle princesse que je suis se doit de tenir c’est engagement.

-Désolé de mettre un terme as t-on délire mais tu pense que je veux que tu m’embrasse. J’ai l’impression que tu prends tes fantasmes pour des réalités.

Sakura se renfrogna avec un air vexé.

-Tu n’avais pas l’air si dégoûté le soir de notre rencontre.

-Tu veux dire le soir de la plus belle cuite de ma vie. Je devais en tenir une sacré couche ce jour là. Je te concède qu’au seuil du coma éthylique, tu peu semblé  vaguement attirante. Mais sobre,  c’est une autre histoire. Soyons clair, toi et moi sur une île déserte la race s’éteint. Maintenant, que c’est clair embrasse Tomoyo.

-Hein ? Mais ça va pas je vais pas embrassé une de mes… Je veux dire une fille.

-On a fait un pari, Sakura.

-Oui pour que je t’embrasse.

-Non, on a parié un baiser, c’est tout. Jamais on n’a précisé qui tu devrais embrasser.

Tomoyo gloussa.

-Là, il t’a bien eu.

Pour la première fois, Sakura semblait avoir perdu de sa belle assurance.

-Tu ne vas pas t’y mettre Tomi.

-C’est toi qui l’as dit un pari est un pari.

Sakura chercha une échappatoire. Mais voyons la mine résolue des deux pervers, il sut qu’elle n’y couperait pas. Elle poussa un long soupir.

-Bon d’accord, vous avez  gagnez.

Tomoyo s’approcha et embrassa longuement Sakura. Quand les deux fille interrompirent leurs baiser, Sakura était visiblement sous le choc.

-Ouas, elle embrasse mieux que toi, Shao, souffla t-elle